LE TERRORISME WOKE EST À TA PORT(É)E ! Par CheriBibi, le 4 mars 2025

« Toutes les décisions qui engagent des vies humaines sont prises par ceux qui ne risquent rien. » – Simone Veil

Ça te défrise que je cite Simone Veil ? C’est vrai que j’aurais pu plutôt citer Simone Weil : « La politique m’apparaît comme une sinistre rigolade. » M’enfin, excuse du peu, rescapée de la Shoah et défenseuse du droit à l’avortement, Simone Veil avait beau être par ailleurs une personnalité de la « droite traditionnelle », quand tu vois les tristes pitres fascisants que cette dernière aligne ces temps-ci, la Simone se ferait traiter de « woke » gauchiste à longueur d’antenne… Surtout, sa citation ci-dessus s’applique parfaitement à la situation internationale actuelle, non ? Les hommes d’affaire faiseurs de guerre et de génocide sont en roue libre. Ta vie ne vaut pas chère, indexée sur la marge de profit des actionnaires…

« Le grand remplacement est celui des idées humanistes et émancipatrices par les idées suprémacistes et xénophobes » disait Edgar Morin y’a pas longtemps.

C’est face à ce contexte délétère que sort le ChériBibi 14. Un n° déter’ dont t’as le sommaire en cliquant sur la couvrante rouge sang ci-contre. Je vais pas te faire l’article, si t’es ici c’est que tu connais un brin la bête. Mézigue, ça me fait juste marrer d’imaginer la tronche que certains vont tirer en découvrant le surtitre de la couv’ à l’étal d’une librairie ou d’un disquaire… On s’amuse comme on peut.

Bref. Si t’es dans les parages de Bordeaux ce vendredi 7 mars, on fête la sortie du ChériBibi à partir de 19h à la bien nommée librairie La Mauvaise Réputation, 19 rue des Argentiers.
Pis le jeudi 13 mars de 17h à 20h chez ton tatoueur préféré, Fatalitas, 31 rue de l’église à Montreuil City Rockers ! Amène des curly, je m’occupe du cubi.

Tiens, pendant que j’y pense, vu qu’on m’demande parfois si j’ai une idée de qui nous lit, j’ai posté ici (à la suite des données techniques pour t’abonner d’urgence) quelques tofs de lecteurs & lectrices récoltées au fil des années. Envoie la tienne, on l’ajoutera à la raïa !

Comme on dit au Pays basque : « No pasaran ! Si patxaran ! »