« La digestion c’est comme l’amour, ça commence dans la bouche et ça finit dans le cul. »
Il y aurait beaucoup à dire depuis que l’émotion de ce mois de janvier est retombée, plombée comme une chape sur un toit brûlant. Et beaucoup de choses sont dites. Un bon paquet de conneries même. Le triomphe de la pensée binaire : être ou ne pas être… Charlie. Pas de place pour la nuance (fusse-t-elle tout sauf consensuelle), ça m’apprendra à réagir à chaud, le texte précédent ayant été repris souvent et compris rarement. Du moins c’est mon sentiment. Baste, on y reviendra (ou pas) si les défenseurs de la liberté d’exprimer l’opinion du gouvernement nous en laissent le temps. Parce qu’avec la cavalerie de sortie, l’armée des résistants de la dernière heure désignant, tondeuse en main, celles et ceux qui cogitent à rebrousse-poil, il y a de quoi se sentir interpellé… avant de l’être au premier degré.
Aussi, histoire de souffler sans perdre le nord, mes potes et moi on s’exile à Lille pour le week-end. Y’a le Diablo, recommandable bouge qui bouge, qu’a confié au ChériBibi le menu de son premier anniversaire ! D’où l’affiche ci-dessous pour amateurs de gravure sur bois (toujours) debout. En plus c’est gratos et y’aura pas de périmètre de sécurité. Rock’n’roll !
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il y a ce texte de Nicolas Roméas :
http://blogs.mediapart.fr/blog/nicolas-romeas/190115/faut-il-dire-quelque-chose
cordialement
http://lesilencequiparle.unblog.fr/