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REVUE DE PRESSE
(Journal mural du CLAP33 – Collectif contre les abus policiers de Gironde)
Il est enfin arrivé ! Le n°8 du fanzine des cultures populaires de l’été dansant 2013: Hardcore – Reggae – Science Fiction
On se cultive, on rit, on trouve ça beau, on prend son pied avec Cheribibi !
(La Pétroleuse)
Pas encore tout lu mais c’est du très, très bel ouvrage, un des numéros les plus denses (et graphiquement chiadé) depuis le début.
(punxforum.net)
Attendu depuis plus d’un an, le mag’ anarcho-punk dédié à la culture populaire sous toutes ses formes revient en grande forme pour un numéro spécial été dansant !!! Au sommaire de ce CHERIBIBI N°8 spécial été dansant (fanzine N&B A4/Couv’ couleurs/90 pages) du hardcore, du reggae, de la SF et tout plein de culture populaire. D’Ottis Redding à OSSEX en passant par Marc Caro (l’interview est passionnante) et plein d’autres trucs forcément géni(t)aux !
(lesfilmsdelagorgone.fr)
Le nouveau Cheri Bibi est sorti. Pas encore lu, mais les précédents étaient beaux drôles et intelligents…
(singedesrues.blogspot.fr)
Tiens, y’a pas d’nouvelle !
Tiens, la mise en page tue toujours tout !
Tiens, c’est toujours ultra varié mais cohérent !! Et passionnant !
Tiens, je vais encore mettre 6 mois à tout lire et c’est tant mieux !!
Tiens, la partie zine est toujours toute petite !
Tiens, c’est toujours le seul léger bémol !
Respect ! Il faut avoir une sacrée kultur (et un minimum de vie sociale aussi) pour sortir un truc pareil…
Ah oui et puis le deuxième bémol c’est qu’il va falloir attendre octobre 2014 pour le suivant !
(punxforum.net)
Des choses qui rendent une journée (enfin carrément la semaine vu la masse de lecture) intéressante, recevoir le paquet contenant le nouveau numéro du méga fanzine Chéribibi, est parmi celles qui sont le plus efficace pour moi !
Et ce n°8 ne déroge pas à la tradition !
Un gros paquet de trucs à lire vraiment passionnants, traités par de vrais passionnés !
On attaque directement dans le dure avec 3 pages d’interview des revenants de Reagan Youth. Une sur l’album ‘Otis Redding save America’ des Adjusters. 6 pages intitulées ’10 films de SF pour briller en société future’, suivie par 11 pages sur le travail de l’illustrateur de SF Franck R. Paul dont 10 de repro pleine page et en couleurs de ses œuvres. Rien que ça serait déjà beaucoup, mais ça ne s’arrête pas là ! On poursuit dans la SF avec 3 pages consacrées à son courant ‘Sexe’. Puis viennent 9 pages sur le sorcier du son fêlé Joe Meek. 2 pages sur le Reggae from outer space, qui servent d’introduction au gros et jubilatoire morceau qu’est l’entretien de Monsieur Roy Ellis (the Pyramids, Symarip…) qui tient sur 12 pages et on passe un tel bon moment avec le gars qu’on aimerait bien que ça ne s’arrête pas ! 4 pages de planches ‘historiques’ de Marc Caro servent d’intro à son interview (5 pages). Ensuite autre gros morceau, celui consacré (sur 9 pages) au collectif d’écriture militant italien Wu Ming, dont j’avais plusieurs fois été tenté par l’achat d’un de leur livre mais bon ‘ouvrage collectif’ ici ça sent un peu son renfermé du bulbe d’écrivaillons intelos français. Mais pas de ça chez ces italiens. Cette interview a totalement changé ma façon de voir les choses. Donc je vais me mettre à la poursuite de leurs œuvres. Et on poursuit par une interview du chanteur du mythique groupe Street Punk italien Nabat tout en restant dans le même thème puisque c’est aussi un des écrivains de ce collectif. Puis un portfolio en 6 pages de photos prisent dans la scène Punk française en 1984. Un peu plus d’une page est consacrée au label spécialisé dans les rééditions Soul ‘Numero Group’. Quelques chroniques disques et fanzines et c’est la fin ! Ouf !!!
Quand je vous dis qu’il faut bien toute une semaine pour ingurgiter tout ça (de plus l’iconographie : dessins, crobars, repro, photos est magnifique elle aussi) vous pouvez m’en croire ! Et sur l’avant dernière page est annoncé le sommaire du N°9 : est bien sûr j’en salive d’avance !
Voilà pourquoi je me suis abonné à vie !
(voixdegaragegrenoble.blogspot.fr)
Huitième livraison pour Chéribibi la revue alternative des cultures populaires, un fanzine (prozine ?) très soigné sur la forme et sur le fond qui concurrence aisément les meilleures revues américaines (Psychotronic). Ne vous laissez pas désarçonner par son sommaire pluridisciplinaire (Hardcore -le mouvement musical pas les John Holmes-, littérature populaire, reggae , ciné), chacun y trouvera son compte. J’ai particulièrement apprécié l’article intitulé « Sexe-Friction la fesse obscure de la lune » consacrée à la littérature érotico-SF signé Gérard Lauve et l’entretien long et passionnant avec Marc Caro, l’ex-âme damnée de Jean-Pierre Jeunet.
(medusafanzine.blogspot.fr)
?Numéro d’été du passionnant zine des « cultures populaires », avec un sommaire mixant hardcore, reggae et science-fiction. Bonnes feuilles notamment consacrées aux illustrations de Frank R. Paul, à Reagan Youth, Joe Meek, l’histoire de Lili Marleen, et un portfolio Keupons d’Avant avec les Trotskids, Komintern Sect, Reich Orgasm, Bérurier Noir, etc. Excellente sélection de 9 films de S.F. pour briller en société (future).
(abusdangereux.net)
Ki ké là pour foutre le fourbi dans toute la galaxie? C’est l’nouveau Cheribibiiiii!
(pizzattack.blogspot.fr)
excellent magazine / fanzine ( non distribué en kiosque) entièrement dédié à la culture populaire, abondamment illustré..rock, reggae, underground, littérature de genre, cinéma bis, anarchie..que du bon!!
(ebay.fr)
Camarades,
La pression féodale de la société du spectacle nous inflige jour après jour son lot de dépravation sur les arts populaires. Devant l’hégémonie constante qui ravage l’intellect d’une population en banqueroute, la lecture du Chéribibi, fanzine d’obédience prolétaire, demeure la solution pacifique plus qu’efficace à cette annihilation morale.
Depuis trop longtemps l’hypnose cathodique a contaminé les foyers par le biais sournois d’introduire un désir de vie utopique, inventé par d’avides publicitaires ainsi que de cupides scénaristes de télé-réalité, dont la seule détermination est d’apporter la concupiscence pour faire fonctionner une société marchande à plein régime, en reléguant la populace au stade anal de la concurrence.
La désertification culturelle pousse le peuple asservi à s’assoiffer par des pulsions possessives et consuméristes.
Chéribibi c’est avant toute chose un défricheur des diverses mouvances culturelles au service du peuple, pour le peuple et par le peuple.
Infiltration, filature, tout est conçu pour taper avec un marteau l’ordre en marche et vers ce lendemain qui chante le poing levé dans un grand soir de guinguette. C’est découper à la faucille jusqu’à la racine du mal, afin d’activer un endoctrinement vers un métissage insurrectionnel de circonstance.
La révolution est en marche, car une étoile rouge brille dans la constellation de ce numéro 8, avec un cinéma parlant de l’espace en version S-F et de livres du même sujet mais regardant sous la ceinture de chasteté, dont la science érudite frictionne jusqu’à provoquer une érectile sensation de jouir de cette culture en contemplant de telles bobines, ou en lisant d’une main ces livres déculottés. La féerie des magnifiques illustrations de Franck R.Paul permet par ailleurs de s’envoyer en l’air.
Le sommaire de ce numéro est éclectique (pléonasme pour un tel périodique), et les différentes rubriques Chéribibeat, Chéribibis, Chéribibli, les Hérauts du peuple, etc…présentent selon leur date, soit une rétrospective, soit un enseignement riche d’expérience, et toujours dans cet état d’esprit de divertir comme de guider les masses laborieuses vers cet halo de plénitude éducative.
Le numéro est épais tout comme le papier vintage, avec en revue de spectacle l’iconoclaste pionnier Joe Meek, pourfendeur d’une symbiose musicale durant la décennie 57/67 et qui produira l’électrochoc DIY du garage rock en Grande-Bretagne. Puis avec Roy Ellis pour remonter à la pyramide ascensionnelle du « Skinhead Moonstomp » des Symarip et de revenir sur une carrière avec l’esprit de 69 en point d’orgue. Mais on en apprend tout autant sur la dialectique transalpine d’un excellent collectif d’écrivains italiens avec un sobriquet asiatique : Wu Ming.
Vous pouvez déjà le constater, Chériribibi parle au corps et à l’esprit de façon multidimensionnelle (mot compte triple) car on y parle autant avec les bras, notamment avec le crew HxC/punk Reagan Youth, qu’aussi bien avec les mains avec le chanteur Steno du groupe de Oï Nabab, ainsi qu’avec l’imagination du lunaire Marc Caro pour retourner dans cet espace transitoire de l’éphémère.
Chéribibi c’est un fanzine de propagande populaire, il réactive les synapses neuronales dans le sens inverse de la rotation mercantile ultra-libérale, et de la poussée du repli national. Il pousse à la déstabilisation des idées reçues, des espoirs déchus.
Chéribibi muscle la curiosité en aiguisant les sens et éSHARPe les consciences endolorie par leur passivité résignée. La prose y est savoureuse, jamais policée, elle fait proliférer ce nectar enflammé que les passionnés disposent quand ils donnent avec philanthropie cet échange humaniste qui fait le lit d’une lutte pour éduquer plutôt que de brimer.
Pour Chéribibi hourra ! Hourra ! Hourra !
(wallabirzine.blog.free.fr)
Dans le registre « meilleurs zines français », le dernier CHERI BIBI fait très très fort ! Des interviews passionnantes de Nabat, Reagan Youth, Roy « Symarip » Ellis, Marc Caro, Wu Ming, etc… sous une présentation offset juste splendide, bref du plaisir en pack de 12 !! Je serais tenté de dire que c’est là le meilleur numéro du zine à ce jour, ce qui en fait un truc clairement IN-DIS-PEN-SABLE !
(meantime42.blogspot.fr)
Fanzine hybride, Chéribibi naît en région parisienne dans les années 90 sous l’impulsion d’une bande de joyeux skinheads. Aux côtés d’articles et interviews axés sur les musiques punk ou oï (mais pas que, puisqu’au fil des sommaires on y trouvera aussi du rap), les musiques jamaïcaines trouvent vite leur place, skinhead reggae en tête (ska, rocksteady, Trojan…), et on y trouve des interviews (passionnantes, là aussi) de LKJ, Dennis Alcapone, Alton Ellis, Ken Boothe ou encore Don Letts, et des articles sur Mikey Dread ou Junior Murvin.
(culturedub.com)
Je m’en souviens, très bien, c’était la première fois que je débutais pas mon Cheribibi par la lecture des aventures de Verminax ! Oui forcément, le Daniel il nous colle un portfolio keupons d’avant « neuskis de toujours »… tu vois un peu le truc qui s’amène avec KOMINTERN SECT TROTSKIDS REICH ORGASM ET LES BERUS (!) arf ! (C’est pour saluer la sortie du photobook de Jean Zindel chez Euthanasie !) en même temps on est pas si éloigné que ça du dossier science fiction ah!ah! En tout cas ce numéro est pour moi un des plus inattendus du mag contre culturel parisien… on sait que nos amis aiment faire le grand écart sur les sujets, c’est encore vérifié… Hardcore Reggae Science Fiction un putain de cocktail où Caro déboule après Reagan Youth, Roy Ellis ou Nabat… et puis ils ont mis une danseuse en tutu sur la couv pour tromper l’adversaire… désolé Daniel c’est pas encore aujourd’hui que je vais dire du mal de ton canard !
(ROTTEN EGGS SMELL TERRIBLE n°29)
Fanzine de Culture Populaire virtuose mais pas virtuel.
(microcosmusvulgaris.over-blog.org)
Bon alors celui-là vous l’avez déjà lu depuis un moment mais je tiens juste à dire que j’ai kiffé l’article/interview sur le bassiste/écrivain Wu Ming 1 (je vais d’ailleurs me lire « Manituana » d’ici peu, il m’attend sur la table du salon) ou les magnifiques illustrations de Frank R. Paul (merci pour les repros couleurs !). Alors bien sûr il y aussi Reagan Youth, Nabat et Roy Ellis (12 pages dévoré par l’ami Stephan) où l’on constate que si le Bibi touche son cachou en HC/punkeries, il reste tout de même plus branché par les sons JA. En tout cas c’est 92 pages de bonheur populaire avec même des photos de Karl Komintern qui chante avec les Bérus (si ! si !), des Evil Skins & friends qui ambiancent un cercon de Reich Orgasm sous l’œil pas très rassuré d’un Komintern… Alors on attend le n°9 en écoutant « Otis Redding will save America » des Adjusters et on paie ta cotise au plus vite à On y va – BP 17 – 94201 Ivry sur Seine cedex.
(LA FAUTE À QUI ? n°15)
Daniel s’est encore bien déchiré sur ce numéro qui est visuellement époustouflant, avec alternance de pages en couleurs et en noir et blanc. Si l’auteur de ce zine est un féru de musique et arrive toujours à obtenir des interviews qui rendent verts de rage la plupart des fanzineux (ici nabat, Roy Ellis, Reagan Youth) qui plus est faites en live et en anglais et bien longues, bref, ce type est énervant, je le déteste. Mais ce qui fait l’originalité et l’identité de Chéribibi c’est surtout sa passion pour un cinéma et une littérature dont on ignorait l’existence avant qu’il en parle. Non, je ne te parle pas d’obscurs auteurs chiants n’ayant pas dépassés le seizième arrondissement mais de véritables œuvres populaires et souvent hilarantes. Beaucoup de gens parlent de Chéribibi en disant des trucs genre « ahah, encore un article sur un truc de fou genre dossier sur les films de kung-fu féministes népalais » puis ils prennent le zine et se mettent à lire, et on entend plus personne.
Le thème de ce numéro, hors la musique, est ici la science-fiction. Ici on retrouve donc un article sur des films de science-fiction peu connus, un petit article sur un dessinateur de science-fiction de la première partie du vingtième siècle, illustré par plusieurs pages couleur magnifiques, un article sur les romans érotiques de science-fiction (je ne savais même pas que cela existait et comme à chaque fois que Chéribibi parle de livres de fesses c’est très drôle), un autre sur le reggae et la science-fiction (ils nous auront vraiment tout fait), et une interview de Marc Caro (dessinateur et réalisateur)… Dans un genre complètement différent il y aussi une interview du collectif Wu Ming, un collectif d’écrivains italiens. Et sinon des photos de groupes punks chaos extraites du bouquin sorti par Euthanasie, d’autres articles que j’ai pas eu le temps de lire, des chroniques disques et zines, des bédés bien stylées… Le temps m’a manqué pour me plonger à fond dans ce zine qui fourmille de trouvailles mais il est vraiment excellent alors n’hésitez pas.
(APATRIDE n°13)
Houla qu’elle est moche cette couverture, heureusement qu’il y a mieux à l’intérieur, à commencé par la reproduction d’illustrations de Frank Paul. De magnifiques dessins de science-fiction retro datant de 1939. Et en couleurs, s’il vous plaît. Ouais, car ce numéro 8 est intitulé : hardcore reggae science-fiction. Sacré programme donc. Ça attaque fort avec une des légendes du hardcore américain, les REAGAN YOUTH. Très bon groupe, même si seule une poignée de titres me parlent. Intéressant à lire. Ensuite, encore plus intéressant selon moi, un dossier présentant 9 films de SF. De la bonne découverte en perspective. Toujours des articles atypiques, comme le mélange sexe, et science-fiction dans la littérature populaire, les disques de reggae focalisés sur l’espace intergalactique. Autre interview, avec WU MING, un collectif d’écrivains italien, mélangeant histoire, polar et politique. De la contre-culture imaginaire mais ancrée dans la réalité et remettant les choses en place. Ce collectif est proche du groupe oi NABAT, qui répond aussi à quelques questions ici. Et encore et encore pleins de choses à lire (ou pas), des chroniques zik et book, des dessins, des textes… Y’en a pour tous les gouts…pour peu qu’ils ne soient pas trop formatés. Le problême avec Chéribibi, c’est que ça se veut une revue populaire, au sens proche du peuple, loin des sirènes de la culture jetable. Effectivement, c’est le cas, mais ça reste très pointu et précis, et je doute que le premier prolo du coin soit intéressé par ce qui s’y trouve. C’est même parfois limite hermétique je trouve. Mais bon, ça n’enlève rien à la qualité de Chéribibi. Sortir des sentiers battus demande forcément un minimum d’effort. Maquette impeccable et pro, avec parfois des pages couleurs, le tout imprimé sur papier recyclé.
(DELIVRANCE n°4)
Notre échelle de retard se mesure au nombre de Bibi chroniqué, disons que si on dépasse les 3, c’est que vous avez été super patient (on vous remercie d’avoir tant attendu). Et Bibi number 8, spécial SF. D’ailleurs tout est dit sur la couv « Hardcore reggae science fiction ». Et j’commence à me poser des questions sur une éventuelle conspiration « chéri-bibienne » qu’avec n’importe quel sujet, ils arrivent à faire le lien avec la scène ska/reggae. Le jour où il y aura un spécial hum… bande dessinée, z’allez voir que l’ami Daniel va nous sortir une vieillerie d’un label obscur jamaïcain parlant d’Astérix !
En vrac, pas mal d’interviews, de Reagan Youth à Roy Ellis en passant par Nabat, que du lourd j’vous dis. Pour le cinoche, un type qui se fait plutôt rare Marc Caro et c’est une bonne occasion de (re)découvrir ses travaux.
Et puis il y a ce portrait très intéressant de Joe Meek, producteur de musique dans les 60’s complétement hystérique, le genre de gars qu’on ne trouve plus aujourd’hui (là j’sors une insulte).
Et puis le truc cool, quelques vieilles photos de Jean Zindel de l’époque « chaos » en exclu, avec cette super mention d’une photo de Reich Orgasme face aux néo-nazes d’chez Evil Skins (retour en 40).
Pour le reste, ça fait plus de 5 ans que j’vous vante les mérites de ce zine et c’est encore un scandale que tu sois obligé de lire ma chronique pour te faire un jugement.
Pour avoir ton shoot de culture, tu passes par là : ON Y VA / BP 17 / 94201 Ivry sur Seine cedex ou asso.onyva@gmail.com , mais chuut j’ai rien dit…
(BOOTBOYS KULTURE n°5)
Cheribibi, publicación alternativa de cultura popular. Así se presentan los editores de esta interesantísima revista francesa que encima de su logo, lleva además las etiquetas “Hardcore, Reggae y Ciencia Ficción”. Nos encontramos con 90 páginas que, con una maquetación profesional, nos traen contenidos tan diversos como una entrevista a los Reegan Youth, otra a los Nabat, otra al artista jamaicano Roy Ellis, más reportajes sobre Otis Redding, Joe Meek o el reggae y los alienígenas. A su vez, hay un guapo reportaje fotográfico con fotos antiguas y no muy conocidas sobre antiguas formaciones de punk-Oi francesas como Bérurier Noir, Reich Orgasm, Trotskids o Komintern Sect. Eso en cuanto música, porque hay mogollón de cosas a su vez relacionadas con el cine de Serie b o los cómics. Ah, se me olvidaba, también viene un texto sobre la canción que da nombre a este blog: Lili Marleen. Echo de menos publicaciones de este tipo en el estado, donde la buena música se mezcle con otras movidas más sociales o culturales. Lo más parecido aquí fueron cosas como el Smileo el Strasse, aunque Contrahistoria también iría un poco por esa senda… Bueno, se me olvidaba el mítico, divertido e interesante a la vez Mondo Brutto, que no sé si continúa haciéndose. En fin, ponte manos a la obra con el francés con publicaciones como ésta!
(adios-lili.blogspot.fr)